mar. Avr 23rd, 2024
Une nouvelle méthode pourrait remplacer les accélérateurs de particules
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Seul 5 pour cent notre univers est composé de matière connue. Les autres sont jusqu’alors inconnus Matière noire et Énergie noire. « Notre univers est toujours un grand mystère pour nous », déclare Jacinda Ginges de l’Université du Queensland. C’est pourquoi elle est occupée à en apprendre davantage sur la matière noire.

Des avancées significatives pourraient être réalisées ici avec un atome inhabituel être fait. Il se compose d’un atome de césium et une muon. « Un muon est fondamentalement un électron lourd », explique Ginges. Selon le scientifique, il est jusqu’à 200 fois plus massif et orbite autour du noyau 200 fois plus près que les électrons. Cela lui permet d’enregistrer les détails de la structure de base. En regardant ça, on pourrait méthode alternative pour trouver de nouvelles particules représenter, explique le scientifique selon Phys.org.

LHC à Genève

Cela en fait une alternative aux énormes appareils comme celui-là Grand collisionneur de hadrons (LHC) au CERN à Genève. Il rebondit dans le 27 kilomètres longues particules élémentaires de tube à vide souterrain les unes sur les autres. Les chercheurs recherchent ensuite de nouvelles particules dans les produits de désintégration.

Une nouvelle méthode pourrait remplacer les accélérateurs de particules


Science

Percée dans l’étude de la matière noire réalisée

Selon Ginges, leurs recherches peuvent offrir une plus grande sensibilité grâce à des mesures atomiques. « Nous n’avons pas besoin d’un énorme collisionneur, nous utilisons plutôt des instruments de précision pour rechercher les changements atomiques à basse énergie. » Cette méthode pourrait donc remplacer un accélérateur de particules pour certaines recherches.

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Microscope ultra sensible

Ginges le compare à un « microscope ultra-sensible » qui remplace les collisions explosives à haute énergie dans un accélérateur de particules. Cela peut également être utilisé pour révéler des particules que les accélérateurs ne peuvent tout simplement pas voir, explique Ginges.

L’étude de son équipe est dans le magazine spécialisé Lettres d’examen physique apparu.